Ces rencontres auront lieu au Muséum national d’Histoire naturelle (Paris). La soumission des résumés est ouverte jusqu’au 1er juin 2019. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 19 juillet.
La conférence vise à encourager la présentation des dernières découvertes archéobotaniques, à promouvoir le débat sur des questions fondamentales et à favoriser la collaboration entre les chercheurs internationaux actifs dans le domaine.
L’Association des Rencontres d’archéologie et d’histoire en Périgord consacre son colloque annuel, qui se tiendra comme chaque année depuis un quart de siècle à Périgueux, au thème de l’animal au château. D’emblée, il a été décidé d’exclure la chasse de ces Rencontres et de ne retenir que le château et son environnement proche, quelle que soit la période considérée.
Le 4e séminaire scientifique et technique de l’Inrap aura lieu à Sélestat (Bas-Rhin), dans l’auditorium de la Bibliothèque Humaniste, les jeudi 28 et vendredi 29 novembre 2019. Il sera organisé par la direction scientifique et technique (DST) de l’Inrap, en partenariat avec la direction du GDR Bioarcheodat et Archéologie Alsace. Ce séminaire sera consacré à la pratique de la « bioarchéologie », dans le cadre de l’archéologie préventive.
Gwenaëlle Goude soutiendra son Habilitation à diriger des recherches intitulée ” Manger, Bouger… dans la Préhistoire. Discussions autour des premiers agropasteurs d’Europe et de Méditerranée: approches bioanthropologiques et bioarchéologiques “, le 4 juin, à 14h30, à la MMSH d’Aix-en-Provence (salle Duby).
La 4e journée de rencontres en archéométrie de l’Ifao se tiendra le mardi 11 juin 2019 à Paris (En Sorbonne, Cour d’honneur, Amphi Guizot). Dans le prolongement des trois premières journées, ces rencontres visent à rassembler des archéomètres de toutes spécialités et des archéologues travaillant en Égypte, pour les faire se rencontrer et discuter de différents projets. Elles s’inscrivent dans le cadre de l’appel à projets scientifiques publié annuellement par l’Institut français d’archéologie orientale, afin de susciter la mise en place de nouvelles collaborations.
Avec le soutien du CNRS et en collaboration avec sa cellule de coordination des actions scientifiques pour Notre-Dame de Paris, l’association des scientifiques au service de la restauration de Notre-Dame se donne pour objectif d’aider et de conseiller les autorités en charge de cette mission.
Publication du compte rendu du débat de prospective archéobotanique “Favoriser l’émergence de nouvelles thématiques, développer l’interdisciplinarité, structurer la communauté. Quels moyens ? Quelles actions possibles ?” et des pré-actes des rencontres.
La collection de comparaison ostéologique de l’UMR 7209-AASPE est constituée de plus de 1000 os et une cinquantaine de squelettes de mammifères inventoriés pour la faune ouest-eurasienne, d’une collection ostéologique d’espèces antillaises et d’une importante collection ichtyologique de différentes parties du monde.
Les collections carpologiques dont dispose le plateau de carpologie de l’ISEM comprennent plus de 3000 échantillons actuels. Il s’agit principalement de graines et de fruits mais aussi d’autres organes végétaux (pièces d’infrutescences, organes de réserve, etc.) provenant d’espèces cultivées et sauvages, pour la plupart européennes et méditerranéennes.
L’ostéothèque de l’UMR TRACES regroupe des squelettes et ossements isolés appartenant à près de 10 000 animaux, ainsi que des ouvrages et des manuels d’anatomie comparée. Les espèces représentées correspondent aux taxons retrouvés en contexte paléolithique et néolithique européen : ongulés glaciaires (renne), steppiques (cheval, bison), tempérés (cerf, daim, chevreuil, sanglier) et de montagne (bouquetin, isard) ainsi que plusieurs spécimens de carnivores (hyène, ours, loup, lynx…). Les espèces domestiques sont aussi nombreuses.
Le SSMIM est dédié principalement aux problématiques de l’anthropologie historique et préhistorique, à des fins de reconstitutions paléoalimentaires et paléoenvironnementales. Créé en 2005, il est localisé physiquement au rez-de-chaussée du bâtiment de Minéralogie, au sein de la Plateforme d’analyses isotopiques du Muséum national d’Histoire naturelle (Paris).
